Noah CEBULA

GUIDE – Comment créer la meilleure Landing Page pour votre business (débutant)

Tu cherches à créer la meilleure landing page possible pour ton site business ? Félicitations, tu as frappé à la bonne porte !

Tu as bien fait de naviguer jusqu’ici, car tu vas t’initier aux bonnes pratiques pour mener ton projet à bien. Dans cet article, je vais t’expliquer étape par étape comment créer la meilleure page d’atterrissage pour ton business et te donner des conseils pour que tout se déroule sans accroc. Tu es à la bonne place si tu veux apprendre la bonne façon de faire !

Mais avant toute chose, on va voir ensemble ce qu’est une landing page, pourquoi en créer une et à quoi sert vraiment une page d’atterrissage.

Qu’est-ce qu’une Landing Page ?

Une page d’atterrissage est un type de page internet qui sert à attirer l’attention et à générer des prospects. Elle sert également à raconter leur histoire et à leur proposer une solution pour résoudre un problème précis. C’est à dire un produit, un service ou toute autre chose.

Une landing page peut être une page principale, une page de produit, une page de capture d’email, une page de téléchargement, une page de paiement, etc.

Elle n’est habituellement pas liée à un menu «Navigation», et est donc crée en dehors du flux de navigation ordinaire du site.

Son contenu est habituellement très ciblé et focalisé sur un message précis, un produit ou un service. Elle a pour objectif de pousser les visiteurs à entreprendre une action.

Pourquoi créer une Landing Page ?

Les landing pages font partie intégrante du processus de marketing des entreprises. C’est un élément fondamental vers lequel ta prospection commerciale doit remonter. Elles sont utilisé pour générer des leads, des abonnés, des ventes, et surement pour beaucoup d’autres cas encore.

Créer une page d’atterrissage pour ton web business aura de multiples et puissants effets pour ton business, que ce soit pour générer des conversions, des leads ou des abonnés.

Voici quelques-unes des principales raisons pour lesquelles toi, entrepreneur, devrais créer une landing page :

  • Pour les campagnes de marketing : Une landing page peut servir de base pour des campagnes marketing online. Tu peux ainsi booster les revenus et le traffic en promotionnant un produit ou un service spécifique.
  • Pour se faire connaitre : Les landing pages sont une excellente méthode pour se démarquer. Elles renvoient l’image d’une marque professionnelle et bien équipée. Que ce soit pour créer une présence en ligne, acheter de l’espace publicitaire ou construire une liste email. •
  • Pour générer des leads : Les landing pages peuvent être utilisée pour collecter des données et des leads, alimenter ta base de données et créer des prospects qualifiés.
  • Pour cibler des clients : Une page d’atterrissage va te permettre de cibler un public spécifique et de le convertir plus facilement. Tout ce que tu as à faire est de créer une landing page qui correspond aux besoins de ta cible.
  • Pour augmenter les conversions : Les landing pages sont un moyen puissant de transformer les visiteurs en prospects, puis en leads et plus tard en clients.

D’un point de vue plus pratique, un lien pointant vers une page d’atterrissage offre aussi une meilleure expérience de navigation pour les utilisateurs, car elle les guide vers un lieu spécifique. Plus rapide et plus facile.

Maintenant que tu comprends l’utilité d’une landing page, passons à la partie la plus intéressante : comment la créer ? Suis-moi et je te guide !

Comment créer une Landing Page parfaite ?

1 – Choisis le bon cadre

Le cadre pour le créer tes landing page peut-être très varié. La page peut être construite à partir de zéro, à l’aide d’un site comme WordPress, ou encore avec l’aide d’outils comme Leadpages. L’endroit idéal pour trouver l’outil qui te convient est de faire une recherche Google des différentes plateformes disponibles et de voir ce qui te rapproche le plus. Tu peux également solliciter des professionnels pour le créer. Enfin, si tu as quelques notions de programmation, tu as la possibilité de le faire toi-même.

2 – Concentre-toi sur ton headline

Ton headline joue un rôle important dans ton succès. Il doit être clair, direct et résonner avec ta cible afin de capter leur attention et les inciter à cliquer. Voici quelques étapes pour t’aider à créer une headline, qui claque :

  • Déterminer ta proposition unique : Commence par trouver un pain point et par le résoudre avec ta proposition unique qui fera à coup sûr mouche.
  • Utiliser des buzzwords : Verifie que tes mots clés sont intéressants et parlants. Des mots comme “rapide”, “facile”, “meilleur” et “gratuit” ont tendance à se faire remarquer.
  • Concentre-toi sur le résultat : Il est très important de se focaliser sur ce qu’ils vont obtenir grâce à ton produit ou service. Explique le résultat et laisse-les le découvrir.

3 – Cible ta rédaction

Une fois que tu as créé ta headline parfaite, rédige une copie pour ta landing page directement en adressant ton public. Tu dois être sûr que le contenu est destiné à la cible précise que tu essaies d’atteindre.

Une bonne rédaction cible basée sur la psychologie et les intérêts de ta cible te donnera de meilleurs résultats. Pense à utiliser des mots simples et compris par ton public. Tu peux également souligner leurs problèmes et leur montrer comment tu peux résoudre leurs problèmes.

4 – Soigner ton design

Ton design doit être impactant, frappant et moderne. Concentre tes efforts sur le design et rend-le beau. Il est important que le design soit intuitif et facile à comprendre. Pense à ce qu’ils attendent, à leurs désirs et à leurs besoins. Utilise des couleurs des couleurs chaudes et saturées, qui se marient bien avec les autres couleurs.

La navigation doit être facile et claire et tes liens doivent amener les prospects directement à leur but. Une navigation claire et pratique est essentielle pour encourager les prospects à persévérer vers leur but. Assure-toi aussi que les formulaires sont bien placés, y compris dans la zone visible sans qu’il soit nécessaire de faire défiler la moindrement.

5 – Utiliser les bons boutons

Trouve les bons mots pour inciter le clic et stimuler la conversion. Tu peux ajouter des boutons comme “Inscrivez-vous maintenant”, “Essayez gratuitement”, “Commencez votre essai gratuit”.

Choisis des boutons bien visibles et qui clairement expliquent les avantages associés à l’action. Pour que ton message soit efficace, le bouton doit trouver un juste équilibre entre l’honnêteté et l’urgence.

6 – Ajoutes des call-to-action

Travaille à trouver le ton et le message parfait pour tes call-to-action. Focus ton contenu sur le message et sois percutant et captera ton public et leurs intérêts. Garde à l’esprits que le call-to-action ne doit pas être quelque chose dont on se méprend ou qu’on ignore, mais bien une invitation à aller plus loin.

Quelques exemples

  • Assurez-vous que vos produits et services soient plus que prêts pour les acheteurs !
  • Utilisez votre produit pour obtenir des résultats plus rapidement et plus facilement !
  • Essayez-le maintenant et notez les résultats obtenus !

7 – Testez et mesurez

Une fois que ta landing page est prête, la dernière chose à faire est de la mesurer. Ce qui signifie qu’il faut la tester pour s’assurer qu’elle fonctionne correctement. Pour être sûr que ta landing page fonctionne à son plein potentiel, il faut se pencher sur des indicateurs clés tels que le nombre de vues, le nombre de visiteurs, le temps moyen passé sur la page, les clics, etc. Une fois que tu as comparé les statistiques et que tu es satisfait des résultats, tu peux sûr d’avoir créer une landing page parfaite !

Conclusion

Voilà, maintenant tu sais tout sur comment créer ta landing page et atteindre tes objectifs. Tu as toutes les clés en main pour enfin entrer dans le monde du business ! Si tu restes bloqué à un moment ou un autre ou ne sais pas quoi faire ensuite, n’hésites pas à contacter notre équipe chez RedMount Digital ! Notre équipe d’experts va te guider durant le développement de ta landing page et t’accompagner tout au long de l’aventure ! Sur ce, bonne chance dans ta nouvelle aventure et fais-nous signe si tu as des questions !

Quels sont les enjeux du Social Selling dans la vente B2B en 2022

Quels sont les enjeux du Social Selling dans la vente B2B au temps des réseaux sociaux, en 2021 ?

Quels sont les différents types de SEO

Étude par Noah CEBULA, RedMount Digital

Dernière mise à jour le 17/07/2021 
✔︎  11 minutes de lecture

Contexte & remerciements :

  • Cette étude a été réalisée en janvier 2021 par Noah Cebula dans un cadre universitaire.
  • Le document original a été rédigé en anglais.
  • Cette étude a été corrigée par Steven Guest, professeur à l’Université Ramon Llull de Barcelone, que je remercie pour son implication de qualité. 

Le fichier PDF original qui contient l’étude sur le social selling en français et en anglais est disponible au téléchargement à la fin de cet article.

 

Abstract

 

              Le Social Selling, permis depuis quelques années seulement par la démocratisation des réseaux sociaux et les nouvelles technologies, est une évolution du processus de vente B2B et surement l’un des défis principaux auquel les équipes Sales sont confronté actuellement.

             Dans cette étude sur le Social Selling, nous allons nous questionner autour du concept de confiance au sein d’une relation de vente sur les réseaux sociaux, sur les enjeux éthiques qui peuvent se poser à propos de l’usage des données et de la volonté des utilisateurs de réseaux de participer au processus de vente, et enfin nous verrons quels sont les bonnes pratiques à mettre en place en tant que vendeur B2B pour être efficace sur les réseaux sociaux en utilisant de façon éthique les outils à notre disposition.

Table des matières

 

Introduction

I.        Créer la confiance à travers des interactions sociales sur les réseaux sociaux

  1. Créer une relation de confiance de long terme avec le client
  2. Créer une relation plus personnelle que professionnel

II.        Le Social Selling pourrait créer un déséquilibre d’information

  1. Le traitement des données peut poser un problème éthique au vendeur
  2. Comment rester éthique et honnête pour préserver la confiance de nos clients sur les réseaux sociaux dans le cadre du processus de vente B2B

III.        Les enjeux de mise en place d’une stratégie de Social Selling

  1. Choisir un ou plusieurs réseaux sociaux
  2. Construire, optimiser, persévérer : avoir un profil LinkedIn performant pour vendre en B2B

Conclusion

Sources

Introduction

 

              En France en 2020, 85% des décideurs et décideuses B2B utilisent LinkedIn dans le cadre de leur activité, contre 65% en 2018, d’après une étude de l’agence de marketing et de communication Intuiti réalisée en partenariat avec La Poste Solution Business. Fait encore plus intéressant : dans 2 cas sur 3, le décideur ou la décideuse ne connaissait pas l’entreprise avant de découvrir le contenu proposé sur les réseaux sociaux.  

              Si les réseaux sont utilisés depuis longtemps par les équipes marketing pour faire connaitre un produit ou un service proposé par une entreprise en B2C et en B2B, on constate que les équipes de Sales de B2B se forment et utilisent de plus en plus le concept de Social Selling pour créer des leads, et conclure des ventes. En bref, les sales ont le moyen de garder le contrôle de A à Z sur le processus de vente, et ont donc les moyens pour augmenter leur taux de conversion.

              Mais le Social Selling, c’est quoi ? D’après le blog d’Hootsuit[1], le Social Selling est « l’art d’utiliser les réseaux sociaux pour trouver des prospects, interagir avec eux, les comprendre et les accompagner ». C’est donc un moyen technologique de créer et renforcer son image de marque, ciblant efficacement un public qualifié.

              Sur la page de vente américaine de son outil Sales Navigator, le réseau social LinkedIn défini le Social Selling par quatre piliers :

  1. Créer une marque professionnelle
  2. Se concentrer sur les bons prospects
  3. Analyser ses données pour s’améliorer
  4. Établir des relations de confiance

              L’anonymat est une caractéristique pourtant propre aux entreprises B2B : peu présentes à la télévision, dans la rue, ou sur les grands panneaux publicitaires, le marketing pourrait donc sembler très important pour toucher les décideurs importants.

              Les équipes Sales qui utilisent les réseaux deviennent des ambassadeurs de leur entreprise, des mini-marketeurs qui ont à leur disposition des outils capable de leur acquérir des leads, et les conduire dans leur tunnel de vente, en gardant un contact humain, primordial pour créer la confiance.

              Mais comment créer une relation de confiance de long terme avec ses clients grâce aux réseaux sociaux ? Le Social Selling créé-t-il un problème éthique ? Quels sont les enjeux de la mise en place d’une stratégie de Social Selling ?

              Pour résumer, quels sont les enjeux du Social Selling dans la vente B2B au temps des réseaux sociaux ?

 

[1] Hootsuite est l’outil de gestion de réseaux sociaux de référence, utilisé par Pepsi, McDonald, HP, ou l’administration Obama.

I. Créer la confiance à travers des interactions sociales sur les réseaux sociaux

 

1.    Créer une relation de confiance de long terme avec le client

 

              Dans la version américaine de la série The Office, on suit à la façon d’un documentaire le quotidien d’une entreprise de vente de papier en B2B basée à Scranton en Pennsylvanie, Dunder Mifflin.

              Au cours de la saison 5[1], Michael Scott monte une entreprise parallèle de vente de papier après s’être fait renvoyer de Dunder Mifflin. L’arme fatale de Michael Scott est alors son carnet d’adresse Rolodex, contenant des cartes avec des contacts de chaque entreprise cliente de Dunder Mifflin, ce qui lui permet de les appeler pour les convaincre de changer de prestataire. Sur ces cartes, il a noté des informations détaillées sur chaque client, avec un code couleur particulier selon les sujets de discussion importants, ceux à éviter, ou leurs centres d’intérêts.

              Ainsi, il joue sur le privilège de la relation de confiance qu’il a su créer pour récupérer des clients, et sa stratégie fonctionne. Dunder Mifflin fini par racheter son entreprise, par peur de voir tous ses clients disparaitre. Plus qu’un CRM, c’est un outil de Social Selling avant l’heure. Si Michael Scott avait connu LinkedIn, aucun doute qu’il aurait troqué son Rolodex pour un outil en ligne !

              Pourquoi cela a fonctionné pour Michael Scott ? Parce qu’il a su construire une situation de confiance de long terme où le produit importe autant que le service, en jouant sur des relations privilégiées. Michael Scott utilise un schéma de confiance basée sur 5 points : l’expertise (il connait le secteur depuis des années, et connait le besoin des clients), la fiabilité (il n’a jamais déçu ses clients par le passé, et il partage leurs valeurs), l’honnêteté (il n’aimerait pas perdre sa crédibilité auprès des clients), l’orientation client (il prend en compte les avis négatifs des clients et règle les problèmes), et la compatibilité (il parle souvent de ses passions communes avec les clients).

Schéma de confiance du Social Selling

              Que ce soit sur LinkedIn, Facebook, Twitter ou Instagram, le schéma qui permet de gagner la confiance des clients est le même :

  • L’expertise : Vous êtes l’ambassadeur de votre entreprise, cela se voit directement sur votre profil car il est brandé (votre bannière LinkedIn comporte le logo de votre entreprise), vous bénéficiez de son aura en tant que spécialiste du domaine. Vous avez de l’expérience dans ce domaine, confirmée par votre ancienneté dans le secteur, directement vérifiable sur les pages Facebook ou LinkedIn de votre entreprise. Dans une discussion sur la messagerie de LinkedIn vous expliquez clairement au client comment vous allez répondre à sa problématique.
  • La fiabilité : Vos clients sont satisfaits, ils vous ont noté en moyenne 4,4 étoiles sur 5 sur Google My Business (aussi appelé Google Rich Snippet). C’est un gage de confiance. Votre page Facebook regorge d’avis positifs et de cas clients téléchargeables où un client a témoigné de la qualité de votre service. Vous avez respecté les NDA signés avec les clients qui le souhaitaient.
  • L’honnêteté : Vous laissez les avis négatifs qui ont été rédigés sur toutes les plateformes, auquel le service client répond pour trouver avec le client le meilleur moyen de s’améliorer. Vous avez su vous adapter et quelque fois refuser des clients qui auraient pu influer sur votre intégrité. Vous n’utilisez pas des techniques de spams ou des messages copiés/collés pour gagner des leads, mais vous personnalisez les messages selon le profil du client et vous lui expliquez clairement comment vous allez répondre à ses besoins. Bien que vous soyez parfois plus intimes, vous n’êtes pas pour autant moins professionnel.
  • L’orientation client : Vous portez de l’attention au processus entier en restant en contact avec les clients même quand ils sont déjà client, aussi pour les fidéliser ou pour leur proposer de nouvelles solutions qui pourraient leur plaire ou qui sont plus adaptées, en leur envoyant ponctuellement un message bienveillant pour rester en contact par messages LinkedIn. Vous commentez les posts de vos clients et vous n’hésitez pas à le féliciter quand il publie sa promotion sur LinkedIn.
  • La compatibilité : Vous avez des relations en communs avec ce client sur LinkedIn, vous constatez tout deux sur votre profil que vous sortez de la même université et sur Facebook vous découvrez que vous êtes partis en vacances au même endroit il y a 3 ans. Vous avez de nombreux sujets de discussions qui vous rapproche, et qui vous place dans une situation de relation privilégiée.

              Ainsi, le processus des sales pour gagner la confiance des clients peut s’adapter aux réseaux sociaux, et même être plus performant grâce à deux avantages principaux : la rapidité de contact, qui passe par la recherche et l’ajout de relation, et le regroupement spontané de millions de décideurs qui sont susceptibles de devenir des clients sur les mêmes plateformes.

 

2.    Créer une relation plus personnelle que professionnel

 

              Au cours d’une étude du CSO Insights et Seismic[2], 31% des professionnels du B2B ont déclaré que le Social Selling leur permettait d’établir des relations plus profondes avec leurs clients. Cela peut être lié aux facteurs évoqués précédemment concernant la confiance, mais à la nature même de la première interaction.

Les bénéfices du Social Selling

              Dans une relation professionnelle, notamment dans le cadre d’une première rencontre, le vouvoiement[3] est de rigueur. Mais il existe un débat assez récurant chez les sales : peut-on tutoyer un prospect. La réponse dépend souvent de la culture de l’entreprise : par exemple, une start-up jeune et dynamique ne souhaite pas renvoyer la même image auprès de ses clients qu’un géant de l’assurance. Bien souvent étape « brise-glace », le tutoiement permettrait de décontracter, et souvent d’optimiser les chances de conclure une vente.

              Si tout le monde n’est pas forcément à l’aise avec le tutoiement, il est pourtant très commun sur les réseaux sociaux, même lors d’une première interaction. Échanger à travers l’intermédiaire de messages directs, de commentaires et de ‘likes’ pousse souvent les interlocuteurs à avoir un dialogue moins formel qu’ils auraient eu par email, par téléphone, ou en face-à-face.

              Les réseaux sociaux permettent donc de créer une relation plus personnelle que professionnelle, qui peut se révéler décisive dans le processus d’achat.

[1] The Office: Saison 5, épisode 24, « Heavy Competition ».

[2] Quelques-unes de ces statistiques analysées : https://www.superoffice.com/blog/social-selling-statistics/

[3] Pour les lecteurs anglophones, le tutoiement/vouvoiement expliqué par le Los Angeles Times : https://www.latimes.com/opinion/op-ed/la-og-bastile-vous-tu-20140711-htmlstory.html

 

II. Le Social Selling pourrait créer un déséquilibre d’information

 

1.   Le traitement des données peut poser un problème éthique au vendeur

 

              Sur les réseaux sociaux, les comportements des vendeurs sont le reflet de la culture de l’entreprise. Si elles sont souvent compatibles, la culture du résultat peut, dans certains cas, rentrer en conflit avec la culture de la loyauté.

              C’est un débat qui est suscité notamment par l’utilisation du Sales Navigator de LinkedIn. En effet, LinkedIn utilise des technologies lui permettant de capter une énorme quantité de datas sur chaque utilisateur, et les mets à disposition du vendeur dans ses outils de recherches avancées comme le Lead Builder, ou de signaux business en temps réel. La suggestion de prospects[1] automatiquement créées par LinkedIn, dont le fonctionnement est opaque, repose sur l’étude des historiques de recherches. Ces pratiques, bien que légales et extrêmement efficaces, peuvent interroger sur leur façon dont les plateformes utilisent les données des utilisateurs.

              Si un vendeur fait de la veille sur un sujet comme les bateaux à voile car c’est sa passion, il ne souhaite pas pour autant envie de vous retrouver noyé dans les propositions commerciales sur ce même sujet sur sa messagerie LinkedIn.

              L’usage des InMail, permettant d’envoyer des messages à des décideurs qui ne font pas partie ou qui n’ont pas accepté d’être dans votre réseau peut aussi être considéré comme un comportement non-éthique d’un vendeur. Le vendeur est donc le seul responsable de son utilisation éthique du Sales Navigator de LinkedIn. Il est le seul capable de s’assurer que son démarchage s’inscrit bien dans un comportement orienté client.

              Un autre des enjeux éthiques du vendeur sur les réseaux est la forme de la démarche : le Social Selling brouille les liens entre argumentaire de vente et simple échange cordial. Les intentions n’étant pas claires, cela peut être perçu par les clients comme une forme de manipulation, et ainsi jouer sur la crédibilité et l’intégrité du vendeur.

2.  Comment rester éthique et honnête pour préserver la confiance de nos clients sur les réseaux sociaux dans le cadre du processus de vente B2B

 

              Sur les réseaux sociaux, il est plus facile pour un vendeur de se laisser aller à des techniques peu scrupuleuses afin d’arriver à ses fins.

              Volontairement ou involontairement, un vendeur peut se retrouver dans une position délicate en utilisant un argumentaire trompeur, non-orienté-client, ou même parfois illégal.

              Parmi ces différents comportements, qui peuvent être exacerbés par la distance, ou d’une certaine forme d’anonymat, on trouve notamment :

Les mauvais comportements du social selling

              Ces pratiques sont à bannir afin de créer des bases saines qui permettent un bon usage et un bon fonctionnement d’une stratégie de Social Selling, en conservant la précieuse confiance de ses clients.

[1] https://www.linkedin.com/help/sales-navigator/answer/a111796/suggestions-de-prospects-dans-sales-navigator?lang=fr

III.  Les enjeux de mise en place d’une stratégie de Social Selling

 

 

1.    Choisir un ou plusieurs réseaux sociaux

 

              Poster sur tous les réseaux sociaux et faire du chalutage de masse, ou choisir un réseau social et se focaliser sur une stratégie bien précise pour trouver les bons poissons en pêchant à la ligne ? Ces deux stratégies sont différentes, et dépendent beaucoup du domaine dans lequel le vendeur B2B évolue. Cependant, pour créer une relation de confiance de long terme avec un client, se focaliser sur un réseau pour y apparaitre en tant que référence est souvent une stratégie payante.

              Sans surprise, LinkedIn est le 1er réseau de distribution de contenu professionnel pour les vendeurs B2B. C’est le réseau social le plus utilisé dans le cadre d’une décision d’achat.

              Twitter peut être un bon réseau social pour les vendeurs B2B grâce à l’outil Social Listing : le vendeur peut surveiller le contenu posté par des groupes précis de professionnels, qu’il peut séparer et garder privé. Ainsi, il peut choisir d’interagir avec ses clients existants, ses prospects, ou ses concurrents. Être présent sur Twitter permet bien souvent de s’afficher publiquement comme un expert du domaine.

              Grâce à des outils comme Hootsuite ou Buffer, il est possible de gérer plusieurs flux sociaux en même temps, pour entretenir des communautés de clients, prospects ou même concurrents. Attention toutefois à garder en tête ses objectifs, il est plutôt facile de tomber dans le marketing avec ces solutions, et donc de ne pas obtenir les résultats désirés.

2.   Construire, optimiser, persévérer : avoir un profil LinkedIn performant pour vendre en B2B

 

              Se montrer sur les réseaux sociaux n’est pas toujours positif : le vendeur doit être au bon endroit, et apparaitre comme la bonne personne. Il doit apparaitre comme un expert dans son domaine, celui sur qui on tombe quand on tape une recherche précise. Son profil doit être crédible, afficher et partager du contenu pertinent.

En amont de la création de son compte, il doit donc penser chaque détail pour ne rien laisser au hasard.

Construire un profil professionnel de vendeur B2B :

Si un profil complet et professionnel peut paraitre une évidence, on trouve encore un grand nombre de comptes LinkedIn pourtant actifs sans photo ou sans bannière.

Pourtant les statistiques LinkedIn[1] sont claires :

  • Un profil avec une photo de profil professionnelle donnera 14 fois plus de vues
  • Afficher son poste actuel permet de multiplier par 5 les demandes de connexions
  • Énumérer 5 compétences pertinentes permet de multiplier par 31 les chances de découverte du profil et de recevoir un message

5 éléments clés d’un bon profil LinkedIn pour un sales B2B sont alors :

  • Utiliser une photo de profil professionnelle
  • Créer un titre attractif qui reflète votre position et votre état d’esprit
  • Écrire un résumé complet qui explique à quelle problématique vous répondez
  • Poster régulièrement du contenu de qualité en lien avec votre activité
  • Faites confirmer vos compétences par des recommandations de votre réseau

              Si les utilisateurs finissent tôt ou tard par ajouter ces informations, un indispensable du profil LinkedIn complet est cependant aux abonnés absents : le branding. Sur les réseaux, même à travers un profil personnel, un vendeur représente son entreprise. Son poste au sein de celle-ci est souvent la raison pour laquelle il est motivé à ajouter telle personne dans son réseau plutôt qu’une autre, ou qu’il est susceptible d’être contacté par une autre personne. Il doit donc se connecter avec le maximum de personnes dans son entreprise, afficher une bannière avec le logo ou en lien avec l’univers de son entreprise, lier la page de son entreprise à la sienne, interagir régulièrement avec les membres de son équipe, partager des articles ou du contenu du site de son entreprise dans son flux, …

              Il doit aussi mettre en place une veille stratégique pour identifier les leads, et être trouvable facilement par ces derniers lors de leurs recherches sur le sujet.

Optimiser sa stratégie grâce aux données empiriques :

              Il existe un indicateur propre à chaque profil LinkedIn qui permet de savoir instantanément si son utilisation du réseau est efficace : le SSI (Social Selling Index)[2]. Son principal point fort ? Il dit exactement où et comment s’améliorer. C’est un KPI (Key Performance Indicator) conçu spécifiquement par LinkedIn en 2015. Composé de 4 facteurs, le SSI est un score sur 100 points mis à jour quotidiennement qui permet de se comparer aux professionnels de son secteur, et aux personnes dans son réseau. Il mesure l’efficacité à imposer marque professionnelle que peut avoir une personne à trouver les bonnes personnes, à communiquer avec les bonnes informations et à construire des relations, chaque indicateur donnant un score sur 25 points, additionnés pour arriver à un score sur 100.

              Pour construire la marque professionnelle d’un vendeur par exemple, et espérer atteindre un score de 25/25 sur cet indicateur, il doit avoir un profil très complet, en renseignant avec précision les informations adaptées sur sa page personnelle. Il doit aussi publier régulièrement, notamment des articles, pour créer des interactions régulières.

Persévérer pour voir ses efforts payer et continuer de se former :

              En 2020, le contenu du flux LinkedIn recevait en moyenne 9 milliards d’impressions par semaine. Mais sur les plus de 700 millions d’inscrits sur le réseau, et quasiment 300 millions d’utilisateurs actifs mensuels, seul 3 millions d’utilisateurs postent du contenu de manière hebdomadaire. Donc 1% des utilisateurs se partagent 9 milliards d’impressions tous les mois. Une stratégie de Social Selling met du temps à fonctionner, mais si le vendeur s’y prend correctement, pas de doute que cela finira par fonctionner. Un point important est de penser à rejoindre des groupes LinkedIn sur les sujets qui intéresses. Le vendeur y trouvera notamment des concurrents et des prospects, qu’il pourra ajouter à son réseau.

Comment avancer dans le social selling

 

Conclusion

 

              Depuis quelques années, les réseaux sociaux comme LinkedIn, Twitter, Facebook, entre autres, ont tous changé notre façon de faire du business. La transformation digitale est devenue un enjeu de taille pour toutes les entreprises. Le processus de vente B2B n’y échappe pas.  

              Si le but des vendeurs n’a pas changé lui, et leurs techniques de ventes ont donc dû s’adapter aux clients, les trouver là où ils sont aujourd’hui, sur les réseaux, et trouver la forme pour convaincre ces derniers. Les lieux de rencontre entre clients et acheteurs se sont diversifiés, influençant leurs manières d’interagir.

              Les enjeux du Social Selling sont donc multiples, et tendent à se développer avec les nouveaux outils qui sont créés chaque année par des start-ups tout autour du monde et des multinationales de la Silicon Valley.

              S’articulant autour du concept clé de confiance, les réseaux sociaux jouent sur notre conception du processus de vente, quelques fois aux limites de la légalité ou de l’éthique. L’intégrité du vendeur est primordiale lors de l’utilisation des puissants outils que représentent les réseaux sociaux.

              Ainsi, le concept de réputation est devenu central dans nos sociétés. Un vendeur qui approche un client porte sur lui sa propre réputation, et celle de son entreprise qu’il représente. Pour être efficace, il ne doit donc rien laisser au hasard. Une mauvaise notation, un commentaire négatif, un rapport dans lequel une pratique non-éthique du vendeur est rapportée, autant d’informations qui circulent rapidement sur les réseaux sociaux s’ils sont mal maitrisés.

              Un véritable point positif est qu’il est facile, en très peu de temps et sans avoir de grosse formation dans le domaine, d’exceller dans la maitrise de sa réputation en ligne, ce qui influence directement les ventes réalisées.

              Construire, optimiser et développer sa présence digitale pour augmenter ses résultats n’est pas si compliqué, et demande seulement du travail et de la patience.

[1] Quand vous venez de créer un compte LinkedIn, le didacticiel affiche ces statistiques pour vous encourager à ajouter des informations sur votre page personnelle.

[2] https://www.linkedin.com/sales/ssi

 

Sources

 

Accent Technologies. (n.d.). 13 things Dwight Schrute can teach you about B2B sales. Retrieved 12 January 2021, from https://accent-technologies.com/2016/04/12/13-things-dwight-schrute-can-teach-you-about-b2b-sales/

Bowen, R. (2018, October 5). Ethical Issues in Content and Social Media Marketing. EnVeritas Group. https://enveritasgroup.com/campfire/ethical-issues-in-content-and-social-media-marketing/

Comarketing News. (2019, June 27). B2B: Les réseaux sociaux influencent de plus en plus les ventes. Comarketing-News. https://comarketing-news.fr/b2b-les-reseaux-sociaux-influencent-de-plus-en-plus-les-ventes/

Intuiti. (n.d.). Le Social Selling en France: Une étude par Intuiti et La Poste Solutions Business. Retrieved 12 January 2021, from https://www.socialselling-lebarometre.fr/socialselling/barometre-laposte-intuiti

Jeanblanc, C. (2016, March 16). 4 enseignements du social selling pour les boss de la vente. Marketing & Innovation. https://visionarymarketing.com/fr/2016/03/4-enseignements-social-selling/

Miller Heiman Group. (2019, June 24). CSO Insights and Miller Heiman Group Releases 2019 World-Class Sales Practices Study: “All that Glitters is Not Gold”. Miller Heiman Group. https://www.millerheimangroup.com/resources/news/cso-insights-and-miller-heiman-group-releases-2019-world-class-sales-practices-study-all-that-glitters-is-not-gold/

Newberry, C. (2019, May 2). Le social selling: Définitions, importance et bonnes pratiques. Social Media Marketing & Management Dashboard. https://blog.hootsuite.com/fr/le-social-selling/

Ouellette, C. (2019, October 30). Social Selling Statistics for 2021 (Includes Social Media Marketing!). OptinMonster. https://optinmonster.com/social-selling-statistics/

Sibomana, E. (2017, May 16). Conseillers Clients: Osez tutoyer votre prospect…ou pas. https://fr.linkedin.com/pulse/conseillers-clients-osez-tutoyer-votre-prospectou-pas-sibomana

SuperOffice. (2021, January 4). 38 Social Selling Statistics You Need to Know for 2021. https://www.superoffice.com/blog/social-selling-statistics/

Social selling

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"Quels sont les enjeux du Social Selling dans la vente B2B au temps des réseaux sociaux, en 2021 ?"


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Noah CEBULA

Consultant en marketing digital & CEO

✓ Passionné de Marketing Digital, de trek et de golf, j’ai fondé et je dirige RedMount Digital.

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Comment avoir des relations LinkedIn en 2022

Comment avoir des relations
sur LinkedIn en 2021

Quels sont les différents types de SEO

Par Noah CEBULA, RedMount Digital

Dernière mise à jour le 06/07/2021 
✔︎  7 minutes de lecture

Si vous essayez de trouver le moyen d’obtenir plus de connexions ou de relations LinkedIn, vous n’êtes pas seul.

Avec qui s’attacher sur LinkedIn afin de créer un réseau est une question que l’on me pose souvent. Chaque fois que quelqu’un m’envoie une demande de connexion, je lui envoie toujours une réponse pour le remercier et lui demander de me contacter si jamais il a besoin d’aide avec LinkedIn.

La question est alors : Comment obtenir plus de connexions sur LinkedIn ?


Il y a plusieurs façons d’y parvenir et c’est à vous de juger quelles méthodes vous employez.

Alors, quelles sont les méthodes spécifiques pour obtenir plus de connexions sur LinkedIn ?


Tout d’abord, je pense qu’il est nécessaire de savoir pourquoi un réseau important sur LinkedIn est vital. Je pense que le but principal de l’utilisation de ce réseau social pour les professionnels est de chercher ET D’ÊTRE TROUVÉ.

Pour y parvenir, vous pouvez utiliser la fonctionnalité de recherche avancée, qui vous offre les 1 000 résultats les plus élevés, quels que soient les termes de recherche que vous avez saisis dans votre réseau. Votre réseau LinkedIn, pour ceux d’entre vous qui ne connaissent pas la plateforme, est défini comme vos connexions directes (1er degré), les connexions de vos connexions de 1er degré (2ème degré) et les connexions de vos connexions de 2ème degré (3ème degré).

Lorsque vous avez rejoint LinkedIn pour la première fois, toute recherche que vous avez effectuée ne vous a peut-être pas donné un total de 1 000 résultats, mais à mesure que vous développerez votre réseau, vous comprendrez pourquoi certaines personnes paient pour obtenir plus de résultats et accéder à davantage de filtres de recherche que LinkedIn Premium fournit.

Un bon exemple est celui de l’époque où j’essayais de trouver des personnes dans le secteur du recrutement et de la dotation en personnel (chasseurs de têtes, etc.) qui pouvaient travailler dans mon domaine de spécialité à l’époque. Je pouvais entrer le mot-clé et choisir le secteur du recrutement et de la dotation en personnel et voilà ! Je pouvais obtenir à peu près 60 personnes qui apparaissaient. Un mois plus tard, après avoir augmenté le nombre de mes connexions sur LinkedIn, ce nombre est passé à plus de 90.

Il s’agit d’une étude de cas facile qui illustre le fait incontestable que plus votre réseau LinkedIn est étendu, plus vous trouverez et serez trouvé. Un point secondaire est que vos résultats de recherche changeront toujours au fur et à mesure que votre réseau s’agrandit, alors confirmez que vous effectuez des recherches régulières pour localiser les personnes qui sont importantes pour vous et ne soyez pas frustré si rien n’apparaît à la suite de votre première recherche.

Maintenant que nous savons pourquoi il est important de développer notre réseau, examinons un certain nombre de moyens courants d’obtenir plus de connexions sur LinkedIn.

Il y a deux sortes de manières de réaliser cela :

  1. Une manière active, en utilisant ses invitations,
  2. Une méthode passive, en espérant que les gens vous trouveront et vous inviteront dans leur réseau
Commençons par les moyens actifs d’inviter d’autres personnes :

1. Invitez des collègues de travail de votre entreprise actuelle ou passée


Cela semble très simple et l’est en effet. LinkedIn offre des moyens de trouver simplement des personnes de vos anciennes entreprises qui sont membres de LinkedIn. Vous pourrez alors vous connecter sans connaître leur adresse électronique. C’est souvent la raison pour laquelle la plupart des gens sont sur LinkedIn et la façon dont LinkedIn a commencé à se développer, pour vous aider à découvrir d’anciens collègues.

Cependant, vous ne trouverez des personnes que si votre profil est à jour. Autrement dit, plus vous indiquerez simplement dans votre profil les entreprises pour lesquelles vous avez travaillé, plus vous trouverez de collègues. Confirmez que vous complétez votre profil pour chaque emploi que vous avez occupé depuis que vous avez commencé à travailler pour obtenir des résultats optimaux. Cela peut sembler élémentaire, mais la réponse à la question de savoir comment construire mon réseau sur LinkedIn commence toujours ici.

2. Invitez des camarades de classe de vos écoles actuelles et passées



Vous pouvez trouver d’anciens camarades de classe sur LinkedIn, tout comme vous trouverez d’anciens collègues. Pour essayer de le faire, cependant, vous devriez posséder votre profil mis à jour pour chaque école que vous avez simplement fréquentée… mais peut-être pas toutes les écoles.

Environ 99% des profils que je vois ne reprennent que leurs études supérieures. J’ai même ajouté mon lycée à mon profil, mais je n’ai pu trouver d’autres camarades de classe que grâce à cette fonction, mais en recherchant le nom de mon lycée par mot-clé.

Quoi qu’il en soit, je vous recommande d’indiquer toutes les écoles que vous avez fréquentées, depuis le lycée jusqu’aux programmes d’été et d’études à l’étranger, afin de maximiser les avantages de votre profil.

3. Invitez des contacts professionnels et privés à partir de votre base de données d’emails



C’est de cette manière que les nouvelles personnes sont généralement invitées dans le réseau LinkedIn.

LinkedIn vérifiera facilement vos carnets d’adresses numériques et vous permettra de déterminer qui, dans votre base de données, est sur LinkedIn, puis de générer automatiquement un appel à la participation en appuyant simplement sur un bouton.

Je vous conseille ici de ne pas inviter n’importe qui et tous ceux qui figurent sur ces listes.

Vous avez peut-être envoyé un courriel à plusieurs entreprises pour leur demander un devis sur un projet de rénovation, par exemple, et ces personnes apparaîtront ici… voulez-vous vraiment demander à la personne dont vous avez refusé l’offre ?

Vous pourriez avoir un contact Outlook de quelqu’un qui travaille maintenant chez votre concurrent… voulez-vous qu’il fasse partie de votre réseau ? Vous devez vraiment subir les résultats ici avec attention et ne garder les contrôles que sur les personnes qui :

  1. Sont sur LinkedIn (ils devraient s’afficher pendant une couleur différente avec plus d’informations)
  2. Dont vous pensez qu’elles apporteront une valeur ajoutée à votre réseau.

Je recommande souvent à mes clients de ne inviter quelqu’un qui n’est pas actuellement un membre de LinkedIn. Nous l’avons tous appris à nos dépens, mais LinkedIn impose une limite initiale au nombre d’invitations envoyées, soit 3 000. Cela représente des tonnes d’invitations que vous mettrez du temps à épuiser, mais vous les épuiserez en naviguant parmi les membres de cette communauté forte de plus de 700 millions de personnes et en construisant votre réseau.

Ainsi, si vous invitez des contacts qui ne sont pas sur LinkedIn et que vous ne vérifiez jamais, vos invitations seront gaspillées. Que l’invitation soit acceptée, ignorée, non délivrée, etc. n’a aucune importance. Votre invitation a été dépensée.

4. Invitez des membres de groupes LinkedIn à partir de groupes auxquels vous appartenez simplement



Il existe de nombreux groupes que vous pouvez facilement rechercher et rejoindre sur LinkedIn. Bien que j’aie été intimidé au départ par l’idée de rejoindre un groupe, c’est un processus très simple et je ne pense pas m’être vu refuser l’entrée dans un groupe jusqu’à présent, bien que certains vous demandent de vous inscrire sur leur site Web ou de leur fournir votre adresse électronique.

Rejoindre un groupe est simple et avantageux, car vous pourrez désormais effectuer des recherches au sein de votre groupe et voir des personnes qui ne font peut-être pas déjà partie de votre réseau étendu.

Pour ce qui est d’inviter des personnes au sein d’un groupe, confirmez que vous avez simplement vérifié leur profil et écrivez-leur que vous avez quelques connexions mutuelles avec eux. Je vous conseille d’avoir au moins 5 connexions mutuelles pour utiliser cette technique. De toute manière, votre nombre de connexions mutuelles ne peut qu’augmenter si vous ajoutez plus de monde tous les jours.

Si les conditions ci-dessus ne sont pas remplies, ne prenez pas de risque en les invitant. J’ai commis très tôt l’erreur d’inviter quelqu’un simplement parce qu’il était membre d’un groupe équivalent. GROSSE ERREUR.

5. Renseignez vous sur les profils que vous allez ajouter avant de les demander



Il s’agit de la méthode la plus populaire pour obtenir davantage de connexions sur LinkedIn lorsque vous souhaitez faire croître rapidement votre réseau. C’est également la façon dont fonctionnent la majorité des outils d’automatisation de LinkedIn.

L’intérêt de LinkedIn est qu’il n’y a pas d’autre site pour les professionnels où vous pourrez absolument repérer et entrer en contact avec une personne dans un certain secteur d’activité, avec une entreprise et un titre particulier.

Ceci étant dit, vous serez expulsé de LinkedIn si vous ne respectez pas les besoins des autres qui ne veulent pas être dérangés par des invitations, qu’ils vont rapporter comme spam.

De nombreux PDG que j’ai rencontrés m’ont dit qu’ils considéraient LinkedIn comme un simple moyen de retrouver d’anciens collègues. Cependant, les personnes que vous découvrez lors de votre recherche ciblée et que vous aimeriez vraiment contacter, mais qui ne font pas partie d’un groupe commun, ne montrent aucune préférence pour le réseautage ouvert et n’ont que peu ou pas de connexions mutuelles, sont les personnes les plus difficiles à contacter, mais parfois les plus précieuses.

Avant d’inviter ces personnes, je vous suggère de leur envoyer simplement un InMail, ou s’ils ont besoin d’une adresse e-mail figurant quelque part dans leur profil, envoyez-leur d’abord un e-mail indiquant pourquoi vous souhaitez entrer en contact avec eux. En revanche, si vous devenez un membre payant, vous avez la possibilité d’envoyer des InMails dans le cadre de votre abonnement. Une règle empirique que j’ai même utilisée est que s’ils ont leur adresse e-mail dans leur profil, ils sont hospitaliers à être contactés, mais n’oubliez pas de toujours lire d’abord leur profil avant de tenter une connexion.

6. Remplissez complètement votre profil professionnel



Cela va de pair avec la recherche active de personnes, car LinkedIn sert à trouver et à être trouvé. J’aime recommander d’inclure tous les emplois que vous avez simplement placés sur votre CV, y compris les premiers postes que vous avez occupés juste après avoir obtenu votre diplôme. Le contenu n’est pas aussi important que le fait d’indiquer le nom de l’entreprise et les années où vous y avez travaillé.

7. Remplissez complètement votre profil d’études



Il s’agit exactement du même concept que celui qui consiste à remplir complètement votre profil professionnel. Je pourrais indiquer dans votre profil toutes les écoles fréquentées depuis le lycée, y compris le lycée. Si vous avez observé à l’étranger pendant ou après l’université, ou si vous avez obtenu un Executive MBA ou un autre diplôme d’enseignement supérieur, assurez-vous de les placer également dans votre profil afin d’être trouvé par vos anciens camarades de classe.

8. Indiquez que vous acceptez simplement les invitations dans votre profil



Si les gens lisent votre profil et que vous indiquez dans vos paramètres de contact, votre résumé ou votre titre que vous acceptez simplement les invitations, il vous sera plus facile de recevoir davantage d’invitations car les réseaux ouverts n’auront pas peur de recevoir le redoutable « Ignorer l’invitation » de votre part.

9. Rejoignez des groupes dans ce qui vous intéresse ou des groupes qui correspondent à votre objectif



Bien qu’il existe des « groupes de réseautage ouverts » que vous pourriez être tenté de rejoindre, aujourd’hui, je m’en tiens à l’approche consistant à ne rejoindre que les groupes qui répondent à mon objectif et auxquels je peux apporter de la valeur. Si vous procédez ainsi, vous aurez plus de chances de recevoir des invitations de la part de membres de groupes sérieux qui ne sont pas nécessairement des réseaux ouverts.

Vous avez besoin de résultats et de flexibilité, nous mettons notre énergie et notre savoir-faire à votre service pour développer votre stratégie digitale. 

Entrons en contact, et réfléchissons ensemble à comment nous pouvons vous aider.


N’hésitez pas à nous envoyer un email à contact@redmount-digital.com.

✓ RedMount Digital est un collectif d’indépendants spécialisés dans le Marketing Digital fondé par Noah Cebula, basé à Paris et à Barcelone.


Source : https://nealschaffer.com/how-to-grow-your-linkedin-network/
Noah CEBULA

Noah CEBULA

Consultant en Marketing Digital

Noah CEBULA

✓ J’aide les PME, les gouvernements, les entrepreneurs, les partis politiques, ou professions libérales à développer et optimiser leur présence digitale pour booster leur activité.
→ Je vis entre Paris et Barcelone.
→ Je suis étudiant à l’IESEG School Of Management à Paris et à la Ramon Llull à Barcelone

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42 statistiques SEO à connaitre en 2022

Les 42 statistiques SEO à connaitre absolument en 2022

Quels sont les différents types de SEO

Par Noah CEBULA, RedMount Digital

Dernière mise à jour le 19/04/2022
✔︎  7 minutes de lecture

Le SEO est souvent la partie négligée lors de la création d’un site web. C’est normal : le référencement naturel demande un investissement en temps considérable pour obtenir des résultats. Pourtant oui, le SEO est vraiment capital pour rentrer dans les 9% des sites qui reçoivent 100% des 5,5 milliards de requêtes effectuées chaque jour sur Google. A quoi sert d’avoir un site si vous n’apparaissez que sur la 5ème page des résultats de recherche ?

Améliorer votre référencement naturel vous permet aussi de faire des économies majeures : vous n’aurez pas forcément besoin d’investir un budget mensuel pour faire du SEA (référencement payant) sur Google Ads. Vous améliorez votre trafic de façon considérable, sur le long terme. Et le plus à taille de votre site n’a pas d’importance. Qu’elle soit petite, moyenne ou grande, toute entreprise a besoin d’un bon référencement.

Mais le paysage de l’optimisation pour les moteurs de recherche évolue et change constamment : même Google ne peut pas préciser en détails comment fonctionnent ses algorithmes. C’est pourquoi il est souvent difficile pour un débutant de voir quelles stratégies utiliser pour votre site et augmenter votre classement sur les moteurs de recherches.

Alors essayons ensemble de voir quelques statistiques qui peuvent nous aider à comprendre comment gérer au mieux notre SEO. En sommes, quelles sont les 42 statistiques SEO à connaitre absolument en 2022.

Dans cet article, nous allons partager de puissantes statistiques SEO pour améliorer votre classement. À l’aide de ces faits et chiffres faciles à comprendre, vous choisirez des astuces de référencement à utiliser pour votre site web.

Les principales statistiques SEO :

Ces stats vont certainement vous intéresser. Pour faire simple, ce sont les bases à maitriser pour n’importe qui s’intéressant de près ou de loin au SEO.

  1. Une étude de BrightEdge a analysé de nombreux sites web et a montré que 53,3% du trafic des sites B2B et B2C est généré par la recherche organique. Alors que les sites payants génèrent 10 % du trafic et les sites sociaux seulement 5 %. Dans cette étude, on apprend aussi que 68% des expériences en ligne commencent par un moteur de recherche et que le référencement naturel génère plus de 1000 % de trafic en plus que les médias sociaux organiques.
  1. D’après le site internet de Backlinko, seulement 0,78% des chercheurs de Google cliquent sur les résultats de la 2ème page. Cela représente donc moins d’une personne sur 100.
  1. 92,96% du trafic mondial provient de la recherche Google, de Google Images et de Google Maps d’après le site Sparktoro.
  1. Un point sur les mots clés précis : 69,7 % des requêtes de recherche contiennent quatre mots ou plus d’après le spécialiste du référencement Ahrefs.
  1. 60 % des spécialistes du marketing affirment que le contenu entrant (SEO, contenu de blog, etc.) est leur source de prospects de la plus haute qualité d’après le géant du Inbound Marketing HubSpot.
  1. Le leads acquis grâce au SEO ont un taux de conversion de 14,6 %, toujours selon HubSpot. C’est donc un canal d’acquisition majeur, à ne pas négliger dans le cadre d’un site internet business B2B ou B2C.
  1. D’après DataBox, 70 % des marketeurs pensent que le SEO est plus efficace que le PPC.
  1. 61 % des spécialistes en marketing affirment que la croissance de leur présence SEO est leur top priorité pour les projets d’Inbound Marketing d’après Hubspot.
  1. 87% des utilisateurs de smartphones utilisent les moteurs de recherche au moins une fois par jour d’après Go-Globe. C’est un point qui souligne l’importance d’un site internet responsive.
  1. 76% des gens finissent par visiter une boutique après l’avoir vu sur Google My Business, soit 3 personnes sur 4, d’après le site Thinkwithgoogle.

Si le rapport de BrightEdge vous intéresse, il est dispo ici :

https://www.brightedge.com/resources/research-reports/content-optimization

  1. Selon Google, près de 80 % de son algorithme de recherche est basé sur des facteurs d’optimisation technique off-pages (Google

Les parts de marchés des moteurs de recherches dans le monde :

Les parts de marchés des moteurs de recherches dans le monde est un facteur à prendre en compte dans une stratégie SEO, notamment si on cherche à développer une stratégie SEO internationale. En effet, chercher à optimiser son site pour Google ne servira pas à grand-chose si le site est destiné au marché chinois par exemple. Alors essayons de zoomer sur la disparité de l’utilisation des moteurs de recherches dans le monde.

  1. En 2019, Google domine le trafic de recherche sur les ordinateurs de bureau avec 75,34 %. Il est suivi de Bing (9,97 %), Baidu (9,34 %), Yahoo (2,77 %) et Yandex (1,19 %), qui constituent les cinq premiers moteurs de recherche.
  1. Dans le monde entier en 2020, Google domine encore les moteurs de recherches tout appareils confondus avec 91% de part de marché, suivi de Bing avec 2,55%. Mais ce résultat sera surement à nuancer dans le futur : les chinois utilisent à 70% Baidu et les russes utilisent à 55% Yandex RU. Ce sont des chiffres très importants à prendre en compte pour votre SEO selon vos différentes cibles.

Les statistiques de ranking :

Comme je le disais en introduction, 91% des sites internet ne reçoivent pas de trafic. C’est-à-dire que sur les 5,5 milliards de recherches Google journalières, 0% atteint ces sites. Mais le reste des 9% n’est pas pour autant très glorieux d’après une étude réalisée par Ahref sur plus d’un milliard de pages étudiées par l’explorer de contenu de ce dernier :

JJ0AAAAASUVORK5CYII=

On compte donc :

  1. 90,63% des sites internet reçoivent 0 visite chaque mois (847.833.932 sites)

5,29% reçoivent entre 1 et 10 visites par mois (51.533.239 sites)

2,84% reçoivent entre 11 et 100 visites par mois (28.248.087 sites)

1,04% reçoivent entre 101 et 1000 visites par mois (10.322.545 sites)

0.21% reçoivent plus de 1001 visites (2.094.758 sites)

Grâce à ces statistiques SEO, vous pouvez donc situer votre site internet dans un de ces pourcentage. Si vous recevez plus de 1001 visites par mois, bravo, vous faites partis des 0.21% ! Sinon, il est peut-être temps de bosser votre SEO 😉

  1. La page la mieux classée obtient le plus de trafic de recherche seulement 49% du temps d’après Ahrefs. Vous devez donc tout faire pour atteindre ce Saint Graal.
  1. Lorsque vous créez des blogs, veillez à ce qu’ils soient de forme longue, car le nombre moyen de mots par page sur les premiers résultats de la SEERP est de 1890. Cela montre que vous devez essayer d’ajouter autant de détails que possible et de créer de la valeur pour votre lecteur. Cette info provient du site de Monster Insight.
  1. 55,24% des pages ayant reçue 0 visite n’avaient pas de backlinks d’après Ahrefs.
  1. Parmi les autres facteurs de classement figure l’utilisation du HTTPS, car c’est un indicateur clair de confiance. 50 % des sites web qui se classent sur la première page ont un cryptage HTTPS. Donc, si votre site n’est pas encore HTTPS, vous devriez ajouter des certificats SSL et avoir plus de chances de vous classer sur la première page. (Monster Insight)
  1. La rapidité de votre site web influence votre classement, mais pas que : 53 % des visiteurs quitteront un site web si son chargement prend plus de 3 secondes. Et s’il y a un retard d’une seconde dans le temps de chargement de votre page, vous pouvez constater une réduction des conversions de 7 % toujours d’après Monster Insight.
  1. La plupart des pages de premier plan sont « suivies » par les liens de retour des nouveaux sites web à un rythme de +5% à +14,5% par mois. D’une manière générale, plus une page comporte de liens retour, plus elle reçoit de trafic organique de la part de Google. (Ahrefs)
  1. Le coût moyen d’achat d’un lien est de 361,44 dollars et le coût moyen de publication d’un poste d’invité payant est de 77,80 dollars. (Ahrefs)
  1. Les positions organiques sont si puissantes qu’elles surpassent les résultats payés en termes de clics et de conversions. Par exemple, les résultats organiques obtiennent 94 % de clics de plus que les annonces payantes sur les résultats de recherche. Cela est dû au fait que 70 à 80% des personnes ignorent les résultats de recherche payants d’après le site imforza.
  1. 73,6 % des domaines ont des liens réciproques, ce qui signifie que certains des sites auxquels ils renvoient y sont également liés. (Ahrefs)
  1. Advanced Web Ranking a découvert que 67% de tous les clics sur la SERP vont aux cinq premiers résultats organiques.
  1. Les résultats de la première page des SERPs possèdent six fois plus de liens que ceux de la page 2 (Dialog Feed). 
  1. 83 % des sites web rencontrent des problèmes qui affectent négativement leur vitesse de chargement (SEMrush).
  1. 68 % des sites contiennent des fichiers JavaScript et CSS non minifiés (SEMrush).

 

Les statistiques SEO mobile :

On a tous conscience du poids du téléphone mobile sur nos vies. Encore plus après avoir pris conscience des statistiques SEO 2021. Et bien les statistiques le confirment : nous sommes des grands consommateurs de sites internet sur mobile. Le mobile est désormais un élément important de l’optimisation des moteurs de recherche.

  1. Les moteurs de recherche, notamment Google, ont fait passer le mobile en premier dans l’index, car une grande partie de leur trafic vient désormais des mobiles. (MonsterInsight).
  1. 52,2 % de l’ensemble du trafic des sites web dans le monde provient des téléphones mobiles. (Statistiques)
  1. Il y a plus de recherches provenant de téléphone mobile que d’ordinateurs. (ThinkWithGoogle)
  1. En France, en cumulant smartphones et tablettes, Médiamétrie estime que les terminaux mobiles ont représenté 52,7% des visites en septembre 2015. Et depuis, la tendance ne s’est jamais inversée d’après Zdnet.
  1. On sait aussi que Google classe votre site web en fonction de ses performances sur les mobiles. Si un site web n’est pas adapté au mobile et ne fonctionne pas correctement sur le mobile, le site en question ne sera pas bien classé dans les résultats de recherche Google. Pour tester son adaptabilité mobile, on peut utiliser différents outils directement conçus par Google. (Google)
  1. Et pour vous donner une idée des raisons pour lesquelles les moteurs de recherche ont fait ce changement, considérez ceci : 95% du trafic organique sur Google aux États-Unis provenait des mobiles en 2020. (Google)
  1. La première position sur Google a un CTR mobile de 23.5 %, en baisse par rapport aux 28.6 % de 2015 (Advanced Web Ranking).
  1. En moyenne, les Français passent 2 heures et demie par jour sur mobile. 1 personne sur 5 passe 4 heures par jour sur mobile d’après le site Relatia.
  1. Les recherches locales sur mobile augmentent 50 % plus vite que les recherches mobiles dans leur ensemble (Search Engine Land).
  2. Les utilisateurs passent 70% de temps en plus sur les sites web qui se chargent rapidement et ces sites web ont 60 % de pages vues en plus (Duda).

Les statistiques SEO netlinking :

Une stratégie de mise en réseau efficace consistera à obtenir des liens de sites partenaires (également appelés « backlinks ») vers votre nom de domaine pour lui donner de l’autorité. Cette autorité acquise aura un effet positif sur le référencement.

Pour analyser et mesurer le netlinking, on utilise souvent le Trust Flow, qui est un indice qui a été créé pour l’outil d’analyse Majestic. C’est un indice de confiance qui représente le nombre de backlinks ou de liens de qualité qui pointent vers votre site web. Plus les liens externes sont nombreux et de qualité, plus votre site web aura un indice de confiance élevé. Faisons donc un point sur les statistiques du netlinking SEO :

  1. 68 % des spécialistes SEO dans les petites entreprises considèrent le link building comme la technique la plus difficile à mettre en place (North Star Inbound).
  1. La plupart des pages de premier plan recoivent des backlinks en « followed » par des nouveaux sites web à un rythme de +5% à +14,5% par mois. (Ahrefs)
  1. Les longs contenus reçoivent en moyenne 77,2% de backlinks en plus que les articles courts d’après le site backlinko.
  1. 66,31% des pages n’ont pas de backlinks d’après Ahrefs.

 

Pour conclure sur les statistiques SEO :

  1. D’après l’ensemble des spécialistes du SEO, il y aurait entre 200 et 300 facteurs d’optimisation SEO pris en compte par les algorithmes Google pour classer les pages.

Pour développer votre stratégie SEO d’optimisation, faites appelle à des spécialistes du SEO, RedMount Digital vous accompagne pour booster votre référencement ! Pour en savoir plus, contactez nous dès maintenant !

Noah

Sources :

Statistiques Mobiles :

https://www.thinkwithgoogle.com/consumer-insights/mobile-search-trends-consumers-to-stores/

https://www.statista.com/statistics/241462/global-mobile-phone-website-traffic-share/

Statistiques SEO principales :

https://digitiz.fr/blog/statistiques-seo/

https://fr.semrush.com/blog/50-faits-incontournables-pour-votre-strategie-seo/

Statistiques de ranking :

https://ahrefs.com/blog/seo-statistics/

https://www.monsterinsights.com/seo-statistics/

Statistiques de netlinking :

https://www.northstarinbound.com/state-enterprise-seo-2017/

Noah CEBULA

Noah CEBULA

Consultant en Marketing Digital

Noah CEBULA

✓ J’aide les PME, les gouvernements, les entrepreneurs, les partis politiques, ou professions libérales à développer et optimiser leur présence digitale pour booster leur activité.
→ Je vis entre Paris et Barcelone.
→ Je suis étudiant à l’IESEG School Of Management à Paris et à la Ramon Llull à Barcelone

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Le Marketing Digital c’est quoi ?

Le Marketing Digital
c’est quoi ?

Quels sont les différents types de SEO

Par Noah CEBULA, RedMount Digital

Dernière mise à jour le 11/02/2021 
✔︎  5 minutes de lecture

Alors que je faisais une recherche de mots clés sur le site Answer The Public (www.answerthepublic.com) et sur Google Trends (www.trends.google.co.uk), j’ai eu soudainement envie de tester le moteur en tapant « Marketing digital ».

Fun fact : le terme « Marketing digital » compte plus de 3,26 milliards de résultats de recherches sur Google au début 2021.

Quelle ne fut pas ma surprise quand je suis tombé principalement sur des requêtes du type « marketing digital definition », « marketing digital cours », ou encore le fameux « marketing digital c’est quoi ». Sur Google Trends, j’ai même eu +350% de progression pour (le visiblement très en vogue) « marketing digital def ».

Marketing Digital c’est quoi

Le public cherche une réponse, la question est pourtant simple : qu’est-ce que le Marketing Digital (ou Marketing Numérique) ?

Le géant de l’Inbound Marketing, HubSpot, défini ainsi le Marketing Digital :

« Le marketing digital englobe tous les efforts de marketing qui utilisent un appareil électronique ou l’internet. Les entreprises exploitent les canaux numériques tels que les moteurs de recherche, les médias sociaux, le courrier électronique et d’autres sites web pour entrer en contact avec leurs clients actuels et potentiels. »

Comment mesurer l’impact d’une campagne de Marketing Digital ?

  1. En pourcentage d’augmentation du trafic d’un site internet
  2. En Content Performance (ouverture d’un PDF par exemple)
  3. En Lead Generation (nombre de prospects apportés)
  4. En expérience client (qui a été réellement touché par la campagne, et pourquoi)

Quels sont les outils du Marketing Digital ?

  1. L’optimisation des moteurs de recherche (SEO)
  2. Le marketing de contenu
  3. Le marketing des médias sociaux
  4. Le Pay Per Click (PPC)
  5. Le marketing des affiliés
  6. La publicité autochtone
  7. L’automatisation du marketing
  8. Emails marketing
  9. Les relations publiques en ligne
  10. Le marketing entrant
  11. Le contenu sponsorisé

Quelques-uns de ces outils méritent d’être un peu approfondie, car ces notions peuvent être sombres pour certains, et incomplètes pour d’autres. Je reviendrais plus en détails sur ces notions dans un autre post.

Qu’est-ce que le SEO ?

Il s’agit du processus d’optimisation de votre site web pour qu’il soit mieux classé dans les pages de résultats des moteurs de recherche, ce qui augmente le volume de trafic organique (ou gratuit) que reçoit votre site web. Les canaux qui bénéficient du référencement comprennent les sites web, les blogs et les infographies.

On y trouve le On Page SEO (l’ensemble du contenu qui existe « sur la page » lorsqu’on regarde un site web), le Off Page SEO (l’ensemble des activités qui se déroulent « hors page » lorsque vous cherchez à optimiser votre site web, comme les backlinks par exemple), le Technical SEO (l’arrière-plan de votre site web et sur la manière dont vos pages sont codées).

Qu’est-ce que les emails marketing ?

Les entreprises utilisent le marketing par courrier électronique comme moyen de communication avec leur public. Le courrier électronique est souvent utilisé pour promouvoir des contenus, des rabais et des événements, ainsi que pour diriger les gens vers le site web de l’entreprise. Les types de courriels que vous pouvez envoyer dans le cadre d’une campagne de marketing par courriel comprennent :

  • Bulletins d’information pour l’abonnement à un blog.
  • Des courriels de suivi aux visiteurs du site web qui ont téléchargé quelque chose.
  • Des courriels de bienvenue aux clients.
  • Promotions de vacances aux membres du programme de fidélité.
  • Des conseils ou des séries de courriels similaires pour le suivi des clients.

Qu’est-ce que le PPC ? Qu’est-ce que le Pay Per Click ?

Le PPC est une méthode qui permet de générer du trafic vers votre site web en payant un éditeur chaque fois que vous cliquez sur votre annonce. L’un des types de PPC les plus courants est celui de Google Ads, qui vous permet de payer les meilleurs emplacements dans les pages de résultats du moteur de recherche Google à un prix « par clic » des liens que vous placez.

Pour finir, cadeau, je vous laisse avec ma petite perle, celle qui m’a quand même fait esquisser un sourire, le top des requêtes pour le terme Marketing Digital lié au mot « Quoi » (100% véridique) :

c'est quoi marketing digital

Vous souhaitez approfondir le sujet ? Faites un tour sur le blog de HubSpot : https://blog.hubspot.com/marketing/what-is-digital-marketing

Vous cherchez à booster votre présence sur internet grâce au marketing digital ? N’hésitez pas à me contacter ici : contact@redmount-digital.com ou en passant par le formulaire sur la page principale du site RedMount Digital !

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Comprendre le vocabulaire du référencement (SEO, SEA, SMO, SEM) en 2021

Comprendre le vocabulaire du référencement
(SEO, SEA, SMO, SEM)

Quels sont les différents types de SEO

Par Noah CEBULA, RedMount Digital

Dernière mise à jour le 10/02/2021 
✔︎  6 minutes de lecture

Chaque jour, Google enregistre en moyenne 5,5 milliards de requêtes. Pourtant, 91% des sites ne reçoivent jamais de trafic. L’acquisition de trafic, le référencement, est donc un enjeu de taille : faire partie des 9% de sites qui bénéficient de 100% du trafic. C’est surement dans ce cadre là que vous avez entendu parlé de SEO, de SEA, ou de SMO. Mais que peut-il bien y avoir derrière ces acronymes ?

Les termes SEO, SEA, SMO et SEM sont régulièrement utilisés sur internet, notamment sur LinkedIn. À l’heure où j’écris ces lignes, le # seo sur LinkedIn est suivi par plus de 130.000 personnes partout autour du monde (Voir le hashatag sur LK), et ce nombre n’est pas prêt de s’arrêter de croitre. Comprendre le vocabulaire du référencement peut paraitre compliqué au premier abord, car il est composé par un certain nombre d’acronymes en anglais. Pourtant, avec quelques bases, vous verrez qu’il n’est pas si compliqué que ça de maîtriser les concepts de SEO, SEA, SMO, et SEM, et de maîtriser leur utilisation.

Cet article est fait pour vous si :

  • Vous êtes néophyte, ces termes vous sont probablement inconnus, mais vous cherchez à comprendre le vocabulaire du référencement,
  • Vous êtes un habitué du web, vous devez avoir quelques bases mais il reste quelques incompréhensions,
  • Vous mélangez encore quelques fois les termes (Il faut dire que beaucoup de personnes les mélangent malgré des années d’expérience dans le Marketing Digital et diffusent des informations pas toujours très justes).

Qu’est-ce que le SEM ?

Le SEM, acronyme de Search Engine Marketing ou Marketing sur les Moteurs de Recherche :

  • N’est pas une technique marketing, c’est un regroupement de techniques marketing.
  • A l’interieur du SEM, on trouve donc le SEO, le SEA, et le SMO.

On peut le matérialiser ainsi : SEO + SEA + SMO = SEM

Qu'est ce que le SEM

Le SEM se manifeste de cette manière sur les pages de recherches Google (en violet) :

Le SEM sur une page web

Qu’est-ce que le SEO ?

Le SEO est l’acronyme de Search Engine Optimization – Optimisation pour les Moteurs de Recherche.

Il s’agit du processus d’optimisation de votre site web pour qu’il soit mieux classé dans les pages de résultats des moteurs de recherche, ce qui augmente le volume de trafic organique (ou gratuit) que reçoit votre site web. Les canaux qui bénéficient du référencement comprennent les sites web, les blogs et les infographies.

On y trouve le On Page SEO (l’ensemble du contenu qui existe « sur la page » lorsqu’on regarde un site web), le Off Page SEO (l’ensemble des activités qui se déroulent « hors page » lorsque vous cherchez à optimiser votre site web, comme les backlinks par exemple), le Technical SEO (l’arrière-plan de votre site web et sur la manière dont vos pages sont codées).

On trouve les résultats SEO en vert ici, dès le premier résultat non précédé d’« annonce » :

Qu'est ce que le SEO 

Qu’est-ce que le SEA ?

Le SEA (pour Search Engine Advertising – Publicité sur les Moteurs de Recherche) définit ce que l’on appelle couramment le référencement « payant ».

  • La publicité diffusée sur un moteur de recherche,
  • Les petits logo Annonce avant les premiers resultats sur google,
  • Utiliser la régie publicitaire de Google, Google Ads qui fonctionne sous forme d’enchères sur des mots clés : google multiplie l’indice de qualité qu’il délivre à une annonce avec le prix proposé par l’annonceur pour choisir quelle annonce proposer.

Sur une page de recherche Google, le SEA se trouve au-dessus des resultats organiques, juste ici en rouge :

Qu'est ce que le SEA

Qu’est-ce que le SMO ?

Le SMO, pour Social Media Optimization – Optimisation des Médias Sociaux regroupe :

  • Toutes les activités visant à développer la visibilité d’une entreprise au travers des médias sociaux,
  • Votre notoriété est publique, et elle se mesure notamment par le nombre de followers, d’abonnés, de fans sur les réseaux sociaux, qui intéragissent virtuellement avec vous en ligne,
  • Les réseaux sociaux sont particulièrement utiles pour communiquer, partager, rassembler autour d’une marque et fidéliser sa clientèle,
  • Youtube est le deuxième moteur de recherche au monde en termes de volume de recherches,
  • Bien que ce soit controversé, on peut integrer dans le SMO le fameux Google My Business, ou Rich Snippet, ce cadran entreprise, aussi défini comme SEO Local.

On trouve le SMO (Google My Business) ici en jaune :

Qu'est ce que le SMO

Vous souhaitez en savoir plus sur le SEO, le SEA, le SMO ou le SEM ? Comprendre comment vous pouvez les utiliser et comment ils peuvent vous aider à booster votre croissance ? N’hésitez pas à m’envoyer un email à contact@redmount-digital.com. Je serais heureux de vous aider à répondre à vos objectifs ! 

J’ai aussi réalisé une vidéo sur le sujet ! Comprendre le vocabulaire du référencement en moins de 5 minutes en vidéo : https://youtu.be/l-19qpkVWSI

Lire la vidéo
Noah CEBULA

Noah CEBULA

Consultant en Marketing Digital

Noah CEBULA

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Comment trouver le CMS d’un site et le thème d’un site WordPress ?

Comment connaitre le CMS d'un site ou le thème d’un site web ?

Quels sont les différents types de SEO

Par Noah CEBULA, RedMount Digital

Dernière mise à jour le 26/01/2021  ✔︎  2 minutes de lecture

Vous souhaitez trouver le CMS d’un site web ? Ou trouver comment a été créé votre site favori ? Ou quel est le thème WordPress d’un site web ? C’est possible en quelques secondes grâce au site : https://whatcms.org

Avant toute chose, voici une petite introduction sur le concept de CMS pour contextualiser : 

Un système de gestion de contenu (CMS) est une application logicielle qui permet aux utilisateurs de créer, d’éditer, de collaborer, de publier et de stocker des contenus numériques. Les CMS sont généralement utilisés pour la gestion de contenu d’entreprise (ECM) et la gestion de contenu web (WCM).

Comment fonctionne un CMS et comment est-il utilisé ?

Un CMS fournit une interface utilisateur graphique avec des outils permettant de créer, d’éditer et de publier du contenu web sans avoir à écrire du code à partir de zéro.

Un CMS comporte deux composants : une application de gestion de contenu (CMA) et une application de diffusion de contenu (CDA).

La CMA est une interface utilisateur graphique qui permet aux utilisateurs de concevoir, créer, modifier et supprimer le contenu d’un site web sans connaissance du langage HTML.
La composante CDA fournit les services de base qui permettent de gérer et de diffuser le contenu une fois que l’utilisateur l’a créé dans l’ACM.

En savoir plus sur la différence entre un CMS, un ECM et un WCMS (en anglais) : https://searchcontentmanagement.techtarget.com/definition/content-management-system-CMS

Revenons donc au sujet principal : comment connaitre le CMS d’un site web ?

Tapez simplement dans la barre de recherche l’URL du site en question, et vous obtiendrez votre résultat aussi facilement que cela :

trouver le CMS d'un site web

Par exemple, si on teste avec le site www.redmount-digital.com :

2

S’il s’avère que le site en question est un site WordPress, vous avez simplement à cliquer sur la flèche à droite du bouton, et sélectionner « WordPress Theme » pour en savoir plus sur le thème utilisé par le site WordPress :

3

Encore une fois avec le site www.redmount-digital.com :

4

 

Essayons maintenant de comprendre les résultats de votre recherche.

Exemples de différents CMS :


Il existe de nombreux CMS gratuits ou sur abonnement pour les particuliers et les entreprises. Lors de vos recherches sur l’outil présenté ci-dessus, vous obtiendrez différents résultats. Voici quelques exemples des fournisseurs de systèmes de gestion de contenu les plus populaires :

Joomla. Il s’agit d’un système de gestion de contenu web gratuit et à code source ouvert, construit sur un cadre MVC. Joomla est écrit en langage de script PHP et offre des fonctionnalités telles que la mise en cache, les flux RSS, les billets de blog, la recherche et la prise en charge de la traduction.
WordPress. Il s’agit d’un autre WCMS gratuit et à source ouverte basé sur PHP et MySQL. Les entreprises peuvent utiliser WordPress dans le nuage ou le déployer sur un ordinateur local pour en faire leur propre serveur web. Ce logiciel est hautement personnalisable, avec de nombreux thèmes et plugins WordPress disponibles. Il s’agit également d’une plateforme de blogage très populaire.
Backdrop CMS. Il s’agit d’un CMS libre et gratuit qui fait partie du projet Drupal et fournit un CMS abordable pour les petites et moyennes organisations. À lui seul, Backdrop n’offre que les fonctionnalités de gestion de contenu web les plus basiques, mais il peut être étendu à l’aide des différents modules.
Wix. Ce CMS offre des plans gratuits et payants. Les fonctionnalités comprennent des outils de collaboration en équipe, des intégrations par des tiers, une sécurité de niveau entreprise, des centaines de modèles de conception et la possibilité d’ajouter du code personnalisé. Wix fournit également un service d’assistance à la clientèle 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
CMS HubSpot. Ce CMS payant comprend un générateur de pages par glisser-déposer, des recommandations d’optimisation pour les moteurs de recherche et des thèmes de sites web. La plateforme CRM gratuite de HubSpot est également incluse dans chaque package CMS, permettant aux utilisateurs de suivre les clients et le contenu, le tout en un seul endroit.
Magnolia. Il s’agit d’un CMS open-source, sans tête, qui permet des intégrations avec de nombreuses technologies de marketing – y compris des systèmes de CRM, des outils d’analyse et d’automatisation du marketing. Ses caractéristiques comprennent la personnalisation et l’optimisation, ainsi que la gestion des actifs numériques.

Enjoy !

Noah CEBULA

Noah CEBULA

Consultant en Marketing Digital

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Quels sont les avantages de créer un site web d’entreprise en 2021

Quelles sont les avantages de créer un site web d'entreprise ?

Quels sont les différents types de SEO

Par Noah CEBULA, RedMount Digital

Nous comprenons les raisons pour lesquelles vous pourriez résister à la construction d’un site pour votre entreprise : « Je ne suis pas doué pour la technologie », « ils sont trop chers », « je n’ai pas le temps », ou le tristement célèbre « j’ai assez d’affaires et je n’en ai pas besoin ».

Cependant, que ce soit pour avoir une présence en ligne, avoir une page de contact, pour faire du e-commerce, de la promotion d’événement, … on a tous une bonne raison de vouloir promouvoir notre entreprise sur internet. Alors pourquoi sauter le pas et créer un site internet ? Voilà quelques-uns des avantages :

 

  1. Un site internet est avant tout un investissement. Le fait d’avoir un site web attirera de nouveaux clients vers votre entreprise et vous fera gagner plus d’argent. Presque 8 personnes sur 10 font une recherche en ligne avant de prendre une décision d’achat. Essayez de vous souvenir d’une fois où, avant de vous déplacer pour acheter quelque chose vous avez-vous-même regardé avant sur internet le produit, que ce soit pour vérifier ses caractéristiques ou comparer son prix.

 

  1. Vous n’êtes pas présent sur internet, mais vos concurrents le sont. Si vous n’êtes pas présent sur internet, n’oubliez pas que vos concurrents directs et indirects eux le sont surement, sans même le savoir, vous leur laissez l’entièreté du marché. Soyez une entreprise du 21ème siècle, rentrez en compétition avec les grands pour profiter des bénéfices que représente un marché international.

 

  1. Votre réputation est publique, vous pouvez la mesurer et l’impacter. Comment cela vous affecte-t-il ? 79 % des utilisateurs qui lisent les avis en ligne, les croient. Mettez en avant sur votre site les avis et les commentaires positifs de vos clients. Un beau site est un beau magasin, vous pouvez mettre en avant votre valeur ajoutée. Face à 2 sites internet, proposant les mêmes services aux mêmes prix, le consommateur du 21ème siècle choisira systématiquement d’acheter sur le site qui lui fait la meilleure impression.

 

  1. Vous êtes tout le temps ouvert. Votre site web est disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 365 jours par an. Votre boutique en ligne aussi. Mettez toutes les chances de votre côté pour ne plus rater plus un lead, plus une vente.

 

  1. Vous gagnez beaucoup de temps. Que vous échangiez des courriels, répondiez à des appels téléphoniques ou envoyiez des propositions, la communication avec les clients potentiels prend du temps. Votre site web peut vous faire gagner ce temps en répondant aux questions et aux demandes de renseignements les plus courantes des clients. Qu’est-ce que cela signifie pour vous ? Vous pouvez passer votre temps à faire des choses plus utiles.

 

Pour résumer : vous avez besoin d’un site web, et il est plus facile que jamais d’en obtenir un. Faite votre bilan coût / avantage, pour calculer ce que peut vous rapporter votre présence sur internet. Pour plus d’information sur comment créer un site internet, n’hésitez pas à nous contacter en cliquant sur le lien ci-dessous pour revenir à la page principale !

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Google confirme qu’il n’indexe pas les passages séparément

Google confirme qu'il n'indexe pas les passages séparément

Quels sont les différents types de SEO

Par Noah CEBULA, RedMount Digital

Google a confirmé sur Twitter des rumeurs qui courent depuis quelques temps au sein de la communauté SEO : leur moteur de recherche va désormais être équipé d’une technologie qui permet d’identifier un passage d’un texte sur un site internet pour une recherche.

https://twitter.com/searchliaison/status/1318609604029263872

Traduction du Tweet : La semaine dernière, nous avons discuté de la façon dont nous allons bientôt identifier les passages individuels d’une page web pour mieux comprendre la pertinence d’une page pour une recherche. Il s’agira d’un changement global améliorant de 7% les requêtes…

Traduction du 2cnd Tweet : En général, nous évaluons tout le contenu d’une page web pour déterminer s’il est pertinent pour une requête. Mais parfois, les pages web peuvent être très longues ou porter sur plusieurs sujets, ce qui peut diluer la pertinence de certaines parties d’une page pour des requêtes particulières…

Traduction du 3ème Tweet : Grâce à notre nouvelle technologie, nous serons en mesure de mieux identifier et comprendre les passages clés d’une page web. Cela nous permettra de faire apparaître des contenus qui, autrement, ne seraient pas considérés comme pertinents si l’on considère une page dans son ensemble….

Traduction du 4ème Tweet : Ce changement ne signifie pas que nous indexons les passages individuels indépendamment des pages. Nous continuons à indexer des pages et à prendre en compte des informations sur des pages entières pour le classement. Mais nous pouvons désormais considérer des passages de pages comme un facteur de classement supplémentaire….

Traduction du 5ème Tweet : Il n’y a rien de spécial à faire pour les créateurs. Continuez à vous concentrer sur un contenu de qualité, avec tous les conseils que nous offrons: https://google.com/webmasters/learn/ Cela signifie simplement que dans certains cas, nous pouvons maintenant faire un meilleur travail de présentation du contenu, aucun travail requis de la part des créateurs.

Bien entendu, nous savons tous qu’il est primordial de travailler son contenu web, d’intégrer au sein de ses textes des mots clés, etc… Avec cette nouvelle forme d’analyse des pages web, il n’est pas nécessaire de se préoccuper de la décomposition du contenu pour l’optimiser autour d’une seule idée ou d’un seul mot-clé.

Mais on note cependant dans ces tweets que « maintenant [nous sommes] capables non seulement d’indexer des pages web, mais aussi des passages individuels de ces pages. », ce qui ressemble sur le papier à une indexation séparée. D’après Google, l’indexation n’a pas changé, mais simplement la capacité de Google à analyser un passage pertinent qui peut se trouver bien en bas d’une page et qui n’aurait eu aucune chance d’être classé auparavant.
Voilà à quoi cela devrait ressembler :
Google indexe les passages

Nos amis anglophone auront surement droit à une première expérience de cette technologie, une adaptation étant prévue pour les mois à venir toujours d’après Search Engine Land (https://searchengineland.com/google-confirms-it-doesnt-index-passages-separately-342387).

Alors, bonne nouvelle pour les créateurs de contenu et les référenceurs, ou mauvaise ? Pour l’instant, il semblerait que cela permette de faciliter l’accès à certaines informations non référencées précédemment. On attend donc de passer de l’analyse du lab à l’analyse du terrain.

Noah

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